Mercredi 20 septembre : rencontre avec Véronique Decker à la librairie la Nouvelle réserve (Limay)

Rencontre avec Véronique Decker, L’école du peuple (20 sept.)

Le syndicat Sud éducation 78, la librairie la Nouvelle réserve et le collectif Questions de classe(s) et sa revue N’Autre école, vous invitent à une rencontre avec Véronique Decker mercredi 20 septembre à partir de 19 h 30 à Limay

« L’école du peuple sera l’œuvre des éducateurs du peuple. », Célestin Freinet.

Véronique Decker, directrice d’école à Bobigny, reprend la plume et livre 64 billets inspirés par son quotidien d’enseignante et de cadre de l’Éducation nationale engagée au service de ses élèves de la cité Karl-Marx.
Il y est question d’apprentissages lents, d’éveil au monde, de pédagogie Freinet, de fraternité, d’amour et d’empathie, mais aussi d’injustice et de casse de l’école, des quartiers populaires et des solidarités.
Celle qui entame ses dernières années d’exercice livre un regard rétrospectif tantôt sombre, tantôt cocasse, mais résolument combatif.

Pour découvrir Véronique Decker, des liens (radio, presse et télé) à découvrir :
http://www.questionsdeclasses.org/?Une-rentree-sous-le-signe-de-L-ecole-du-peuple



PDF Véronique Decker vit et travaille à Bobigny (Seine-Saint-Denis). Directrice impliquée, citoyenne engagée, formatrice, syndicaliste, elle propose, avec L’école du peuple, un récit fort, après le succès de Trop classe ! en 2016.

Des rencontres, autour de livres, pour penser l’école autrement

Le syndicat Sud éducation 78, en partenariat avec la librairie coopérative La nouvelle Réserve et le collectif Questions de classe(s) lance une série de rendez-vous autour de l’école.
Il s’agit de créer un espace d’échanges et de réflexions­ sur nos pratiques pédagogiques et militantes en donnant la parole­ à celles et ceux qui font l’école, au quotidien, et qui militent pour la transformer.

Prochaine rencontre mardi 10 octobre à 19 h 30 :

Laurence de Cock à propos de La Fabrique scolaire de l’histoire II (Agone),
« L’école peut-elle produire une histoire émancipatrice ? »